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Farming Simulator 17 / 2017 : Premier jour dans la peau d’un agri virtuel

Vous ne connaissez pas le jeu ou souhaitez le re-découvrir. Voici le récit d’une partie de Farming Simulator 2017. Vous y découvrirez de grandes similitudes avec le quotidien de l’éleveur. Normal c’est une simulation.

Vous venez de lancer le jeu et vous vous retrouvez à la tête d’une petite exploitation. Quelques hectares de terre (3 parcelles), trois tracteurs, une moiss-batt, une remorque 8000L, un cultivateur, un semoir, une voiture, trois abris de stockage, un hangar à véhicule… et 25000 € en poche. C’est déjà une belle installation, mais vous n’avez pas de cheptel. Vous démarrez au choix, soit sur un territoire Américain assez agréable à l’œil, soit dans un pays de l’Est dans un décor qui n’a rien à envier à Tchernobyl 🙂 Peut être un jour verra-t-on débarquer des paysages bien de chez nous ? (Giants Software si vous nous lisez… Farming Simulator 2019 ?)

Du pain sur la planche

Les différents matériels listés ci-dessus n’attendent que vous. La moissonneuse est postée, moteur éteint, devant une parcelle de blé, suivi de son tracteur et d’une remorque attelée. On sent déjà venir les besoins de main d’œuvre. Sur les deux autres parcelles, vous trouverez, là aussi prêt à l’emploi, votre semoir et un cultivateur. Trois jobs simples qui permettent de se familiariser avec les commandes du jeu.

Tantôt patron, tantôt ouvrier

Pour attaquer la moisson, il vaut mieux être accompagné. Vous pouvez alors faire appel à un ou plusieurs ouvriers pour vous aider dans vos taches. Par exemple, mettre un ouvrier à conduire la moiss-batt pendant que vous suivez derrière avec votre remorque. Pendant ce temps vous pouvez mettre 2 autres employés à travailler vos terres et à semer.

Mais, comme dans la vraie vie, tout ceci à un coût (environ 5000€ pour les trois premiers jobs à effectuer), votre enveloppe de départ fond comme neige au soleil, et vous n’avez pas, à l’exception des œufs de vos quelques poules, d’entrée d’argent pour le moment.

Il est temps de passer en mode « ouvrier » et d’aller faire quelques missions. Pour se faire, rien de plus simple, il suffit de vous rendre dans un champ voisin pour vous voir proposer un contrat de travail temporaire. Et les salaires sont juteux dans Farming Simulator 17 🙂 Notre premier voisin nous a proposé pas loin de 40000€ pour récolter son blé avec sa propre moiss-batt New Holland dernier cri. Du bonheur.

Acheter ou louer son matériel

Grande nouveauté dans Farming Simulator, vous pouvez d’emblée vous « faire plaisir » (mais pas à votre porte monnaie) en louant du matériel plutôt qu’en l’achetant. Dès la moisson, vous vous rendez compte que vous n’êtes pas équipé pour presser la paille.

Au bout de 20 minutes de jeu, on voit déjà vers quel profil on va se diriger : céréalier pur et dur, ou éleveur ? Car les premières bennes issues de votre moisson, il va bien falloir en faire quelques chose… Stocker ? Vendre ? Dans notre partie, et parce qu’on est en Bretagne, terre d’élevage, nous allons stocker et récolter la paille pour préparer l’arrivée des premiers occupants de nos prairies virtuelles.

L’arrivée du bétail

Par défaut, vous disposez de plusieurs enclos pour vos vaches, moutons, porcs et poules. Avant d’aller dire bonjour au négociant de bétail, il est préférable de s’organiser et faire vos premiers stocks. Le bétail vous apportera de quoi fertiliser vos terres, vous entrerez dès ce moment dans une boucle sans fin où il vous faudra cultiver vos terres en permanence pour nourrir vos bêtes, qui vous donnerons de quoi fertiliser naturellement vos terres, etc. etc. etc.

Pas d'animaux, pas de lisier. Pas de lisier, obligé de passer par la chimie.
Pas d’animaux, pas de lisier. Pas de lisier, obligé de passer par la chimie.

Point important dans Farming Simulator, il n’y a pas de saison, et pas de ravageurs et autres adventices. Aussi l’élevage se limite à être très actif sur vos parcelles, sans tenir compte des éventuelles rotations de cultures, afin de produire toujours et encore…