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Prison Simulator : un Prologue qui vous invite à la castagne

Dans la série « On fait du Simulator pour n’importe quoi », voici Prison Simulator, un jeu qui vous met dans la peau d’un maton. L’idée de base n’est pas bête : gérer des prisonniers et des gangs… mais le problème c’est que le jeu part en vrille au bout d’une heure, ça se termine en castagne et en tuerie à coup de balles dans la tête !

Bienvenue… en prison

Prison Simulator est donc avant tout une gestion de prisonniers en vue à la première personne. Vous commencez votre service par un rapport auprès de votre supérieur, avant de prendre un bain de foule un peu particulier, avec des prisonniers. Au démarrage d’une partie, vous devrez « créer » vos 16 premiers prisonniers (nom, prénom, physique…) et leur attribuer un gang. Car oui, les prisonniers ont une vie sociale et les guerres de gang sont une réalité dans le milieu carcéral. Mais dans le prologue qui nous a été fourni, cette gestion du volet social s’arrête là, et lorsqu’une bagarre éclate, c’est un peu tout le monde qui « se fout sur la gueule ». Pardonnez l’expression, mais c’est vraiment l’idée. De votre côté, vous êtes équipés d’armes blanches, bâton, taser pour tenter de faire régner l’ordre. Toute se passe plutôt bien, vous passez vos premières heures à discuter, fouiller des prisonniers pour leur prendre leur contrebande, etc… Jusqu’à la première émeute, ou plutôt tuerie.

Et c’est alors que le jeu perd toute crédibilité et que le terme « Simulator » s’effondre. Le prologue se termine dans un bain de sang. Un soulèvement de prisonniers vous oblige à vous équiper d’un pistolet, de ses 3 chargeurs, et de tirer des balles dans la tête à qui n’en veut. Après avoir annihiler la prison tout entière, le calme revient… du grand n’importe quoi avec des scènes à la Zombiland où tout le monde vous fonce dessus alors que vous êtes armés !

Bref, le jeu sort le 20 mai, est compatible VR, et nous le relancerons une ultime fois… pour voir… mais sans grande attente…